Je n'aime rien tant que de l'avoir tout
contre moi les nuits où elle ne dort pas, et de sentir sa petite
main me caresser la joue, ses yeux rivés aux miens.
Je n'aime rien tant que de l'observer
jouer, attraper délicatement un objet et le remuer gracieusement en
cercle ou en huit, simplement en vrillant le poignet, comme pour le
faire tintinnabuler.
Je n'aime rien tant que de l'entendre taper bruyamment sur un jouet, glisser fort ses doigts sur le plastique, ou faire valser un grelot pour expérimenter les sons.
Je n'aime rien tant que de l'entendre taper bruyamment sur un jouet, glisser fort ses doigts sur le plastique, ou faire valser un grelot pour expérimenter les sons.
Je n'aime rien tant que de la voir
découvrir une matière nouvelle du bout des doigts, palper et
expérimenter d'un air à la fois surpris et captivé.
Je
n'aime rien tant que de la voir onduler ses doigts vers le ciel et
les agiter soudain pour réclamer un câlin.
Je n'aime rient tant que de me souvenir que lorsque j'ai été très malade et très malheureuse, une petite main de vingt jours m'a caressé la mienne de son pouce, comme pour me consoler.
Ses mains son celles d'un bébé
pataud, et je suis émerveillée de la voir les utiliser avec tant de
précision et de grâce.
Joli article! Les mains de bébé, c'est si adorable!
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